Exemples de prise en charge

Afin de bien saisir l’intérêt de Garantie-Revente.com, voici 2 exemples chiffrés de prise en charge d’un sinistre.

Cas d’une naissance multiple

M. et Mme D. (un enfant) achètent aujourd’hui et par votre intermédiaire un petit pavillon ancien, pour la somme de 180 000€. En plus du prix du logement lui-même, l’acte notarié prévoit 40 000€ de travaux de réfection. Par ailleurs, les acheteurs doivent s’acquitter des frais de notaire (14 300€) et des frais hypothécaires (1 100€).

Le prix de revient de leur bien est donc de 235 400€.

Trois ans plus tard, M. et Mme D. ont le bonheur de donner naissance à des jumeaux. Problème, leur charmant petit pavillon devient bien trop petit pour loger 3 enfants dont 2 en bas âge. Ils sont donc obligés de revendre leur bien pour acheter plus grand.

Or en 3 ans les prix de l’immobilier n’ont pas augmenté de façon spectaculaire, d’autant plus que M. et Mme D. sont pressés de revendre. Ils acceptent donc une offre à 215 000€ (net vendeur). Autant dire que leur bien a été revendu le prix qu’ils l’ont acheté (travaux compris).

Dans l’opération, M. et Mme D. ont donc perdu la bagatelle de 20 400€, pour un logement qu’ils ont occupé à peine 3 ans !

Heureusement, ils ont eu la sagesse d’acheter par l’intermédiaire d’un agent immobilier offrant la garantie revente à ses client : l’intégralité de leur moins-value, soit 20 400€, leur sera remboursée !

Cas d’un licenciement

M. et Mme L. ont 3 enfants. Aujourd’hui, ils ont décidé d’acheter un appartement suffisamment grand pour leur famille, dans le centre d’une petite ville de province. Par votre intermédiaire, ils trouvent leur bonheur, et déboursent 280 000€ pour le logement de leurs rêves. Les frais de notaire s’élèvent à 21 200€, et les frais de garantie à 1 500€.

Le prix de revient de leur bien est donc de 302 700€.

Deux ans plus tard, catastrophe. L’usine dans laquelle M. L. est cadre ferme ses portes et celui-ci est licencié. La famille ne peut plus faire face au remboursement de son crédit immobilier, et est obligée de revendre.

Las, l’usine où travaillait M. L. était le principal employeur de la ville, et la situation économique locale s’est dégradée, de même que le marché immobilier. Les L. sont donc obligés de revendre leur appartement 265 000€, faute d’acheteur prêt à payer davantage.

La moins-value réalisée est donc de 37 700€, une somme énorme pour la famille. Heureusement, lors de leur acquisition, vous leur aviez offert la garantie revente (c’est d’ailleurs pour cela qu’ils vous ont choisi...). Cette énorme moins-value est donc prise en charge à hauteur de 31 000€, ce qui la rend nettement plus supportable.